Les origines des souffrances et des maladies
L'importance du terrain
L'énergie divine manifeste et anime les différents niveaux de l'être. Si rien ne la trouble, elle abreuve l'être sans retenue et lui garantit une relative bonne santé. Notre personne, ignorante et crédule, malmenée par les émotions et les événements déstabilisants, met elle-même cet équilibre en péril.
Ces impacts, directs ou indirects, physiques ou psychologiques, entraînent des perturbations dans son agencement énergétique de base. Ces dérèglements s'impriment dans le corps, et leur activité demeure, au fil du temps, aussi importante qu'au lendemain de l'événement qui les a générés. L'ensemble des plans énergétiques, puis le corps physique lui-même finissent par être piégés dans le déséquilibre.
C'est ainsi que naissent nos souffrances et nos maladies.
L’importance du terrain n’est pas pour l’énergiologue, le contexte héréditaire, le contexte karmique, transgénérationnel ou familiale mais principalement son degré d’éloignement réel avec sa Source intérieure.
Les humains sur terre ne sont pas égaux en accomplissement spirituel. En effet les âmes incarnées ont à planifier des programmes de vie qui s’adressent à des êtres spirituellement très primaires (parfois en dessous de l’évolution animale) très grossiers, très négatifs, très asociaux jusqu’à des êtres spirituellement très évolués, parfois très fragiles, plutôt discrets et observateurs dans ce monde. Ce sont des êtres très sensibles.
D’autre part la planète terre, qui est une entité vivante, présente des zones plus ou moins grandes (des vortex) de taux vibratoires différents. Ces zones peuvent être dans l’histoire de l’humanité des continents, des pays, des régions ou des villes de plus ou moins d’importance. En France par exemple, les villes de Paris ou de Bordeaux ont un taux vibratoire élevé alors que Strasbourg ou Nantes, ont un taux assez faible.
Le terrain d'un individu inclut des dizaines de couches vitales, toutes imbriquées et solidaires. Les différentes médecines s'adressent à une infime partie seulement de cet échafaudage, en ignorant les conséquences que peuvent avoir leurs traitements sur les dimensions du corps dont elles n'imaginent même pas l'existence. Ainsi, à chaque fois qu'un essai thérapeutique, bon ou mauvais, agit sur un organisme en difficulté, la partie subtile du corps a beaucoup de mal à trouver une solution pour s'adapter. Il se produit souvent un blocage d'attente : le terrain se fige et peut dégénérer.
La santé de l'être sensible
Les troubles physiques et émotionnels de la personne encombrent peu à peu les courants de l'énergie vitale dans le corps, comme les rochers perturbent le cours d'un torrent. La force vitale cherche à rééquilibrer la mauvaise position. Ce combat est très difficile chez l'adulte, qui s'isole et s'étiole au fil des ans, en accumulant ses cicatrices et ses errances.
Plus le corps est désuni, plus sa vitalité est faible, plus ses fonctions sont amoindries. L'énergiologue restaure le lien entre les parties disloquées du corps énergétique et réactive l'harmonie générale.
L'être sensible est naturellement plus proche du monde des énergies. Il les perçoit souvent, sous la forme de ressentis et d'émotions qui, généralement, le perturbent, car il ne sait pas les décoder. La sensibilité est cependant la qualité essentielle pour développer une vision énergétique du monde.
Plus un être est sensible, plus il est fragile émotionnellement et plus ses couches énergétiques sont mobiles et malléables. La santé d'un être sensible est donc étroitement dépendante de l'équilibre énergétique vital. A l'inverse, le corps d'un être plus dense aura la possibilité d'amortir l'élan des blocages subtils et d'en retarder voire d'en réduire les effets.